Aujourd’hui, alors que le risque opérationnel émerge comme une menace majeure dans toutes les grandes économies, les acteurs du marché s’intéressent au potentiel du Big Data, perçu comme un moteur crucial dans la gestion avancée du risque opérationnel. S’appuyant sur les recherches effectuées par IBM sur le Big data, cet article montre comment les solutions
Avec OpenPages, IBM propose une solution GRC de nouvelle génération qui permet aux organisations de disposer d’une vision claire et détaillée sur leurs initiatives GRC et d’apporter ainsi les meilleures réponses aux questions suivantes : où diriger les ressources, comment limiter efficacement les risques et comment réagir rapidement face à des exigences de conformité en
Ce livre blanc traite du pilotage et de la gestion du risque opérationnel dans le contexte des “ Saines pratiques de gestion et de surveillance du risque opérationnel ”, selon le titre d’un article publié par le Comité de Bâle. Cet article propose les lignes directrices pour la constitution d’un cadre ORM (Operational Risk Management)
Ce livre blanc aborde quelques-uns des principaux défis de la gestion des règles et de la conformité et présente la solution technologique développée par IBM pour y faire face.
En offrant une visibilité accrue sur le paysage du risque, l’ERM (gestion des risques de l’entreprise) donne aux directions générales les moyens de prendre des décisions plus intelligentes optimisant la valeur, réduisant les coûts et équilibrant risques et rentabilité. Lorsqu’il est imbriqué dans les processus quotidiens à tous les niveaux de l’entreprise, la gestion des
Cette recherche a été menée dans le contexte de l’utilisation d’IBM® OpenPages, une solution logicielle qui permet de centraliser la gestion et l’identification des initiatives GRC de l’entreprise telles que la gouvernance des risques opérationnels, financiers et IT, dans un environnement d’entreprise distribué. Depuis l’acquisition de la société OpenPages en octobre 2010, IBM a intégré
Le risque de corrélation défavorable, aussi appelé Wrong Way Risk (WWR), est une dimension qui s’ajoute tout naturellement à la structure déjà complexe de la quantification du CVA. Le WWR est une relation bien connue dans laquelle l’exposition à une contrepartie présente une relation adverse avec le risque de défaut de cette contrepartie. La crise
De nombreux aspects liés au risque de contrepartie, au financement et au risque systémique doivent être pris en compte pour optimiser les opérations sur les dérivés OTC. Du point de vue d’une banque, une transaction sur dérivé OTC dépend largement du type de contrepartie de l’opération. De nombreux usagers non sophistiqués de dérivés OTC ne
L’une des façons dont les banques ont tenté de susciter la confiance des investisseurs est en mettant en avant leur volonté de stabilité. Dans son communiqué sur les résultats du deuxième trimestre, Bank of America signale un record « Ratio de capital-actions ordinaire de première catégorie de 11,24 pour cent dans le cadre de Bâle
Ce document présente une discussion sur la réforme de la réglementation et l’avenir du système bancaire mondial.